La thérapie Énergétique
L‘être humain, malgré la médecine moderne recèle encore bien des mystères. Les psychologues parlent de conscient et d’inconscient de notre cerveau.
Comme CG JUNG disait
“Nous ne sommes pas là pour guérir nos maladies mais nos maladies sont là pour nous guérir”
D’ailleurs, la psychopathologie met en évidence que « les MOTS engendrent des MAUX ».
L’être humain dans sa globalité forme un ensemble magnifique entre la médecine moderne, la médecine psychique et la médecine énergétique ou médecine quantique.
Notre cerveau n’est qu’une simple antenne relais, réceptrice et émettrice qui donne un accès direct à nos pensées, nos mémoires.
Le corps physique a besoin d’énergie de même que votre ordinateur a besoin d’électricité pour fonctionner.
Nous avons des canaux énergétiques comme les méridiens « en acupuncture chinoise » qui transportent et véhiculent notre énergie.
Les « chakras » fournissent aussi une énergie vitale et ont un rôle bien précis dans notre corps.
La médecine énergétique est la plus ancienne des médecines liée avec la médecine chinoise, tibétaine, ayurvédique, parfois oubliée. Elle est associée aux travaux fait par des scientifiques comme Massuro Emoto, du professeur Jacques Benvéniste sur la mémoire de l’eau , repris par le professeur Luc Montagnier ayant découvert le virus du Sida, sans compter sur les nombreuses observations des Astrophysiciens de la Nasa par exemple.
Elle permet, sans manipulation, de nettoyer notre corps de toutes nos énergies usées, nos mémoires, nos pollutions tant soi dans le domaine émotionnel que physique, ce qui bloque notre bonne santé.
Elle permet de recharger « comme une batterie » les bonnes énergies dont nous avons besoin pour fonctionner et ré harmoniser le corps.
Il va s’en dire que l’aide d’un énergéticien ne s’arrête pas au nettoyage et recharge du corps. Des conseils en alimentation, vie au quotidien sont indispensables pour ne pas perdre les bienfaits d’une séance.
Comme tous les soins en médecine naturelle, il est vivement conseillé de voir un praticien deux fois par an afin de préserver son capital santé.
C’est ce que l’on appelle de la prévention comme le font si bien les orientaux. Un bon médecin chinois ne doit avoir que des patients en bonne santé par exemple.